Burkina Faso/Déstabilisation : L’activiste Ibrahima Maïga s’ajoute-t-il à la liste des cibles de la DGSE française et de ses complices en Côte d’Ivoire ?
Engagé fermement dans la lutte pour la sécurité et la souveraineté de son pays, le burkinabè et activiste politique, Ibrahima Maïga serait l’une des nombreuses cibles de la France, de son service de renseignements extérieur en complicité avec des exilés burkinabè installés en Côte d’Ivoire. Ces personnes s’en prennent à un burkinabè patriote en raison de son dévouement pour la cause de son pays et surtout pour le bien-être des autorités qui s’évertuent pour sortir le pays du joug terroriste.
Son implication dans l’éveil de conscience et dans la mobilisation de ses compatriotes au tour de la dynamique insufflée par le capitaine Ibrahim TRAORE serait une entrave aux projets de manipulations du peuple et de la déstabilisation du pays des hommes intègres. Ce qui fait de lui selon des informations, un ennemi de plus à abattre par les espions français. Outre des attaques et diffamations à son encontre, sa tête aurait été mise à prix par la France.
Il faut noter qu’il y a plusieurs mois déjà que ce digne fils du Burkina Faso fait objet des attaques médiatiques par des Médias français, des diffamations de la part des exiles burkinabè depuis la Côte d’Ivoire à travers des réseaux sociaux, sans oublier des menaces de morts proférées à son encontre. Mais malgré tout, il reste concentré et déterminé dans son engagement pour l’intérêt de la Patrie. Ce qui doit être un exemple à suivre par tout burkinabè, mettant en avant l’intérêt général.
Face à cette situation où des apatrides se retrouvent sur le sol ivoirien complotant contre leur pays et leurs compatriotes, les autorités ivoiriennes sont appelées à jouer leur rôle de régulation et de maintien de la stabilité, de la solidarité et de la fraternité entre deux peuples frères. Elles sont invitées notamment à réagir au plus vite afin de mettre fin à cette situation qui risque d’incendier les relations entre deux Nations sœurs et voisines.
Samuel Nakou