Burkina-Faso: La ministre des Affaires Etrangères, Olivia ROUAMBA fait du bilan des activités de la CNF, une coopération décisive
Au Burkina, les travaux de l’Assemblée Générale statutaire du Secrétariat permanent de la Commission Nationale pour la Francophonie (SP-CNF) se sont tenu à Ouagadougou mardi 20 décembre 2022 sous le haut patronage de S.E Madame Olivia ROUAMBA, ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération régionale et des burkinabè de l’Extérieur. La rencontre a pour objectif de faire le bilan des activités menées par le SP-CNF au cours des deux dernières années.
L’Assemblée Générale qui a réuni les points focaux des institutions et départements ministériels est placée sous le thème « La déclaration de Bamako du 03 novembre 2000 sur la Démocratie et les Droits de l’Homme et son régime de sanctions ».
S’adressant aux participants, la Cheffe de la diplomatie, SE Mme Olivia ROUAMBA a clairement souligné que le thème de l’Assemblée générale vient à point nommé.
« L’exercice de la démocratie est un enjeu pour de nombreux Etats de nos jours, il convient de rappeler et de convenir de certains principes afin que nos Etats aient plus de quiétude et de stabilité » a-t-elle relevé.
S.E Madame Olivia ROUAMBA a ensuite exhorté les participants à faire preuve de créativité dans l’examen de l’ordre du jour afin que les résultats issus des concertations confortent la coopération avec l’OIF.
Selon le secrétaire permanent de la commission nationale pour la francophonie, Mamadou Coulibaly, l’Assemblée Générale est l’instance qui est chargée de faire le bilan de la commission nationale pour la francophonie de concert avec les points focaux et les représentants des institutions et des départements ministériels.
Ainsi en dépit de toute décision de l’OIF au regard de la géopolitique du pays, M. Coulibaly précise que la coopération avec la francophonie continue dans tous les domaines.
En clair, l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) intervient toujours au Burkina Faso dans l’éducation, la formation, la science, la culture, le sport, etc.
Cette prouesse diplomatique est le résultat d’un travail acharné d’une diplomate d’exception dont le dynamisme au service de la nation, n’est plus à démontrer.
SE Mme Olivia ROUAMBA a justement été rappelée aux affaires pour ce qu’elle incarne, à savoir une personnalité dotée de dispositions naturelles et plurielles en matière de dialogue et de persuasion.
De sa présence à la tête du département des Affaires Etrangères, le pays des Hommes Intègres retrouve progressivement sa place dans la sphère politique internationale tout en conservant bien sûr ses acquis et son penchant prononcé pour » l’indépendance totale ».
Aujourd’hui grâce à elle, les regards des institutions internationales à l’endroit du Burkina-Faso sont neufs et plein d’espoir pour l’avenir.
La singularité de cette personnalité politique à venir à bout des situations complexes est tout simplement saisissante et révélatrice du titre » La femme du peuple ».
Le pays peut être fière de la ministre Olivia ROUAMBA car elle fait honneur à la femme burkinabè.
Par ses actions dorénavant, sur le plan éducatif, les burkinabè peuvent avoir une formation de qualité avec le matériel didactique adapté et à la pointe.
Le cinéma qui regorge déjà de ressources et de potentiels humain illimités, vient également de bénéficier d’un appui devant par ricochet enclencher le développement de la culture, richesse du patrimoine.
Aussi, le sport pourra également continuer à se relever de ses difficultés et s’investir dans de nouvelles disciplines sur fond d’accompagnement de nouveaux talents.
L’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) a été créée par la Convention de Niamey du 20 mars 1970, une date symbolique devenue « journée internationale de la francophonie » et célébrée chaque année sur les cinq continents.
L’institution compte aujourd’hui 88 États et gouvernements 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs et poursuit de grandes missions dans la promotion de la diversité culturelle et linguistique, la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l’Homme.
Eric