Burkina Faso/Coopération : Ce qu’il faut retenir des échanges entre le premier ministre et la Coordinatrice du Système des Nations Unies
Le partenariat entre le Burkina Faso et le système des Nations Unies qui dure depuis des décennies, a connu ces deux dernières années sous la gouvernance du capitaine Ibrahim TRAORE, une redynamisation axée sur les besoins réels de la population burkinabè. En 2024, des orientations ont été définies dans le cadre de ce partenariat et conformément à la feuille de route du gouvernement.
La priorité des priorités du chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim TRAORE étant le bien-être et l’épanouissent de ses compatriotes, ce partenariat a été appelé à recentrer les actions dans ce sens. Faire en sorte que les interventions répondent aux besoins cruciaux des burkinabè, notamment l’alimentation, la stabilisation et le relèvement selon les informations.
Il était donc question pour le partenaire, de mettre l’accent sur les secteurs créateurs de richesses capables d’impulser le développement, conformément à la volonté du gouvernement. La rencontre d’échanges entre le premier ministre, Rimtalba Jean-Emmanuel Ouédraogo et la coordinatrice résidente du système des Nations Unies, Flore-Smereczniak, était l’occasion de faire le bilan des actions menées. Un bilan qui est plus ou moins satisfaisant mais interpellateur.
Le premier ministre a appelé à des actions plus rentables au bénéfice de la population burkinabè. Une orientation bien notée par son hôte qui estime que « c’est une priorité pour nous, et nous allons veiller à l’intégrer pleinement dans nos actions ». Pour rappel, le Burkina Faso tisse désormais des relations bilatérales ou multilatérales fructueuses et solides avec des partenaires sincères, capables de respecter la souveraineté et la liberté du pays des hommes intègres.
Theodore Bima