Burkina Faso/Déstabilisation : Le Faso toujours dans le collimateur des ennemis de la paix notamment la France
La France, le premier opposant avéré de la souveraineté et de l’indépendance réelle de ses anciennes colonies qu’elle cherche à recoloniser, ne faibli pas dans ses projets de déstabilisation des pays de la Confédération AES, au premier plan, le Burkina Faso. Le capitaine Ibrahim TRAORE serait la bête noire et la principale cible de ces impérialistes et néocolonialistes français en raison de son franc-parler et de sa volonté manifeste de toujours dévoiler les secrets des ennemis à la population.
Des stratégies seraient donc en train de se mettre en place pour une exécution réussie de ces projets diaboliques par la DGSE française et ses alliés tapis déjà dans des positions stratégiques et prêts à passer à l’action en décembre 2024, période ultime. Une information avérée selon nos sources qui affirment l’avoir obtenue des sources très proches du dossier de déstabilisation, au sein de la Direction de renseignements extérieurs français.
Avec des moyens financiers conséquents mobilisés auprès de l’AFD, des leaders religieux notamment chrétiens, seront mobilisés et mis à contribution que ce soit à l’intérieur des pays ciblés ou dans des pays voisins. D’après les informations, toutes les dispositions sont prises pour le bon déroulement de ces plans étant donné que depuis le début de l’année 2024, plusieurs autres plans ont été déjoués avec succès.
Bien d’autres pays de la sous-région seraient aussi concernés par ces projets de déstabilisation, à l’instar du Togo, le pays du président Faure GNASSINGBE. Ce pays est visé en raison de sa position claire auprès des pays de l’AES, refusant catégoriquement de servir de base arrière pour la déstabilisation de ses pays voisins et frères.
La vigilance, la prudence et un engagement renforcé s’imposent pour les populations de ces pays visés, ainsi que tous les africains épris de la souveraineté de la liberté et de l’émergence réelle des pays africains surtout francophones. Il est plus que jamais nécessaire de faire bloc derrière les leaders révolutionnaires, afin de déjouer une fois de plus ces plans machiavéliques de la France contre l’Afrique.
Issa Barry