Burkina Faso : Un nouveau Gouvernement pour la poursuite des chantiers de développement et de lutte contre le terrorisme
Le Burkina Faso sous le leadership éclairé du président Ibrahim TRAORE, dispose officiellement depuis dimanche 08 décembre, d’un nouveau Gouvernement avec à sa tête, Mr Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo comme premier ministre. Une équipe composée des burkinabè aussi dynamique que le chef de l’Etat, pour le déroulement effectif des plans stratégiques visant la restauration de la paix, de la stabilité et de la souveraineté totale.
Même si ce nouveau gouvernement n’a pas connu un changement majeur, l’on note tout de même trois sorties et quatre entrées comme nouveaux membres du gouvernement Ouédraogo. Il s’agit notamment du ministre Mathias Traoré qui remplace l’ex-ministre d’Etat chargé de la fonction publique, Bassolma Bazié. A son tour, il a été remplacé par Ousmane Ouattara, au poste de secrétaire général du gouvernement et du Conseil des ministres.
En outre, le chef d’état-major général des armées, le général Célestin Simporé, succède au général de brigade Kassoum Coulibaly au ministère de la Défense et des Anciens Combattants ; la ministre de l’Action humanitaire, Nandy Somé/Diallo, a cédé son poste au commandant Pélagie Kabré/Kaboré ; Gilbert Pengwendé Ouédraogo quant à lui, a pris la place vacante laissée par le nouveau Premier ministre, celle de la communication, de la Culture, des Arts et du Tourisme.
Selon les informations, le ministre de l’Agriculture, des Ressources animales et halieutiques, le commandant Ismaël Sombié, est élevé au rang du ministre d’État, ainsi que le ministre de l’Administration territoriale et de la Mobilité, Émile Zerbo. D’après des opinions, leur dynamisme et leur détermination à traduire dans les faits la vision du chef de l’Etat ont joué en faveur de cette décision.
Une nouvelle équipe gouvernementale pour la suite de la mission à laquelle elle est appelée, c’est la volonté manifeste du président du Faso de consolider les acquis dans divers domaines prioritaires et d’accélérer le processus de développement et de souveraineté totale pour le bonheur des citoyens.
Dénis Kabore